TISANE GARFIELD, plantes pour tisane en sachet-dose, sachets-dose étui de 10

Dernière révision : 05/12/1997

Taux de TVA : 10%

Laboratoire exploitant : DENSMORE

Source : Base Claude Bernard
Traitement de courte durée de la constipation occasionnelle de l'adulte.
CONTRE-INDIQUE :
Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes :
- colopathies organiques inflammatoires (rectocolite ulcéreuse, maladie de Crohn...),
- syndrome occlusif ou subocclusif,
- syndromes douloureux abdominaux de cause indéterminée,
- états de déshydratation sévère avec déplétion électrolytique,
- enfants de moins de 10 ans.
DECONSEILLE :
Ce médicament est généralement déconseillé dans les situations suivantes :
- chez l'enfant de 10 à 15 ans,
- en association avec les médicaments donnant des torsades de pointes (voir interactions) [anti-arythmiques (amiodarone, brétylium, disopyramide, quinidiniques, sotalol), non anti-arythmiques (astémizole, bépridil, érythromycine IV, halofantrine, pentamidine, sparfloxacine, sultopride, terfénadine, vincamine)].
- Le traitement médicamenteux de la constipation n'est qu'un adjuvant au traitement hygiénodiététique :
. enrichissement de l'alimentation en fibres végétales et en boissons (eau) ;
. conseils d'activité physique et de rééducation de l'exonération.
- Chez l'enfant, la prescription de laxatifs stimulants doit être exceptionnelle : elle doit prendre en compte le risque d'entraver le fonctionnement normal du réflexe d'exonération.
- Une utilisation prolongée d'un laxatif est déconseillée (ne pas dépasser 8 à 10 jours de traitement).
La prise prolongée de dérivés anthracéniques peut entraîner deux séries de troubles :
. la "maladie des laxatifs" avec colopathie fonctionnelle sévère, mélanose rectocolique, anomalies hydro-électrolytiques avec hypokaliémie ; elle est très rare ;
. une situation de "dépendance" avec besoin régulier de laxatifs, nécessité d'augmenter la posologie et constipation sévère en cas de sevrage ; cette dépendance, de survenue variable selon les patients, peut se créer à l'insu du médecin.
- Grossesse : les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. En clinique, l'utilisation du séné au cours d'un nombre limité de grossesses n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d'une exposition en cours de grossesse. En conséquence, l'utilisation du séné ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.
- Associations nécessitant des précautions d'emploi : digitaliques ; autres hypokaliémiants [diurétiques hypokaliémiants (seuls ou associés), amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (voie générale), tétracosactide].
- Possibilité de diarrhée, de douleurs abdominales en particulier chez les sujets souffrant de côlon irritable.
- Possibilité d'hypokaliémie.
- Parfois, coloration anormale des urines sans signification clinique.
Grossesse :
Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
En clinique, l'utilisation du séné au cours d'un nombre limité de grossesses n'a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d'une exposition en cours de grossesse.
En conséquence, l'utilisation du séné ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
Médicaments donnant des torsades de pointes :
- anti-arythmiques : amiodarone, brétylium, disopyramide, quinidiniques, sotalol
.
- non anti-arythmiques : astémizole, bépridil, érythromycine IV, halofantrine, pentamidine, sparfloxacine, sultopride, terfénadine, vincamine.
Risque de torsades de pointes : l'hypokaliémie est un facteur favorisant de même que la bradycardie et un espace QT long préexistant.
Utiliser un laxatif non stimulant.
ASSOCIATIONS NECESSITANT DES PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Digitaliques : hypokaliémie favorisant les effets toxiques des digitaliques.
Surveillance de la kaliémie et s'il y a lieu, ECG.
Utiliser un laxatif non stimulant.
- Autres hypokaliémiants : diurétiques hypokaliémiants (seuls ou associés), amphotéricine B (voie IV), corticoïdes (gluco, minéralo : voie générale), tétracosactide.
Risque majoré d'hypokaliémie (effet additif).
Surveillance de la kaliémie et si besoin correction. Utiliser un laxatif non stimulant.
RESERVE A L'ADULTE.
1 sachet-dose par jour, au maximum, en infusion.
Ne pas dépasser 8 à 10 jours de traitement.
Durée de conservation :
3 ans.
Précautions particulières de conservation :
Conserver à l'abri de la lumière et de l'humidité.
Sans objet.

Sans objet.

LAXATIF STIMULANT.
(A : appareil digestif et métabolisme).
Ce médicament modifie les échanges hydro-électrolytiques intestinaux et stimule la motricité colique.

Sans objet.

Sans objet.

Sans objet.

Mettre de l'eau bouillante dans une tasse contenant le sachet-dose. Laisser infuser 5 à 10 minutes.

Sans objet.
Absence d'information dans l'AMM.
Sachet-dose en papier thermocollant pour sachet-dose pour tisane, contenant 1,5 g de mélange de plantes. Chaque sachet-dose est enveloppé d'un film de cellophane ; boîte de 10.